Il était une fois Alger

Savez-vous que Bologhine Ibn Ziri est le PERE D'EL DJAZAIR.


La partie haute de la ville est celle qui a le mieux conservée son caractère architectural ancien. Elle a pour limite, les rues Amara Ali (ex.rue Randon) et Abderrahmane Arbadji (ex.rue Marengo), les boulevards Hahad Abderrezak (ex.Bd de Verdun), de la Victoire et Ourida Meddad (ex.Bd Gambetta). On y accède par les rues Hamidouche Sidi Driss (ex.rue de la Casbah) et Abderrahmane Arbadji (ex.rue Marengo) et par les rues Rabah Riah (ex.rue Porte Neuve) et Ahmed Allem (ex. rue Médée) dans la rue Ali Amara (ex.rue Randon). Toutes ces rues aboutissent au Boulevard de la Victoire et à la Casbah, ce qui fait que nul ne peut se perdre : s’il monte, il rencontrera toujours la vieille ville jusqu’à la Citadelle, et s’il descend la rue Arbadji (ex.rue Marengo)ou Amara Ali (ex.rue Randon), il débouchera finalement sur la place des Martyrs (ex.Place du Gouvernement).
Les rues ou ruelles, en escalier, donnent au vieil Alger un aspect particulier, elles serpentent, tournent sur elles-mêmes, présentent des pentes ou descentes abruptes, se terminent en impasse. Elles sont généralement silencieuses, mais certaines sont un peu plus animées avec leurs boutiques d’épicier, de fruitier, de marchand de sucreries…
A cet aspect urbain, s’ajoutent un certain nombre de monuments :
(la suite : La Citadelle …)

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